mardi 26 août 2025

Gestion de la décentralisation dans l'Ouémé. Une cabale d’agents jaloux face au leadership de la Préfète Marie Akpotrossou.


La situation actuelle à la préfecture de l’Ouémé ne saurait être comprise autrement que comme une cabale orchestrée par certains agents, visiblement dérangés par la rigueur et la ténacité du Préfet Dr Marie AKPOTROSSOU. Sous le couvert de dénonciations et de contestations administratives, ces agents ne visent en réalité qu’un objectif : fragiliser l’autorité préfectorale et pousser à la déstabilisation d’une administration qui, sous l’impulsion de sa dirigeante, s’est engagée dans une dynamique d’assainissement et de discipline.


En effet, les griefs brandis contre Mme le Préfet relèvent davantage de querelles internes que de réels manquements. Mutations qualifiées « d’irrégulières », PTA « bloqué », ou encore supposées représailles : autant d’arguments qui traduisent plus une résistance à l’ordre et à la discipline qu’un constat objectif de dysfonctionnements. La vérité, c’est que la Préfète Marie AKPOTROSSOU s’impose par son leadership, son respect des textes et son sens aigu de la responsabilité. C’est ce qui dérange certains agents peu habitués à travailler sous le sceau de la rigueur.


À ce jour, aucune décision officielle de l’IGF ni du ministère de tutelle ne vient confirmer les accusations colportées. Ce qui prouve que les « bruits » autour de la gestion administrative et financière de la Préfecture ne sont que de l’eau versée sur le dos du canard. Les faits demeurent : Mme le Préfet, juriste de formation, agit conformément aux textes et refuse de céder aux manœuvres de déstabilisation.


Un collaborateur proche, le Dr Akpotrossou, insiste d’ailleurs : « Ce que tu fais, tu fais en bien comme en mal. C’est pourquoi il faut avoir la crainte de Dieu. » Une invite claire aux agents rebelles : plutôt que de saper l’autorité préfectorale par jalousie, mieux vaut travailler dans la loyauté et le respect des règles.


Au fond, le « malaise » évoqué n’est qu’une opposition artificielle nourrie par des rancunes personnelles et une peur de perdre certains privilèges. Le peuple, lui, retiendra la constance d’une femme leader qui, malgré les polémiques, garde sérénité et confiance.


Ernest Folorouncho LATOUNDJI

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